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Chrystel Marchand
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Née en 1958 à Caen, elle étudie au lycée international de Saint-Germain-en-Laye..
En musique, elle est élève au Conservatoire de Versailles et travaille la musique de chambre et le piano avec Désiré N’Kaoua. Parallèlement, elle étudie l’analyse musicale et la composition avec Nadia Boulanger, pédagogue à qui elle rend hommage en 1980 avec une sonate pour piano « in memoriam Nadia Boulanger ». Chrystel Marchand est ensuite élève au Conservatoire de Paris, en classes d’harmonie, de fugue et contrepoint, de composition, d’orchestration et d’analyse.

En 1984, elle obtient le Certificat d’aptitude (CA) de professeur animateur, année où elle reçoit une commande d’État pour une œuvre pour quinze instruments. Suivront plusieurs compositions, L’Âge d’or en 1989, et Les sourires de l’aube en 19903. Elle est pensionnaire de la Casa de Velázquez de 1988 à 1990 (59e promotion). De cette période date Allégories, pour piano, inspirées par des toiles de Brueghel l’Ancien (1989).

Plus tard, elle entreprend des études universitaires qui aboutissent à un DEA en sciences de l’éducation en 2002, puis un doctorat en musicologie en 20073. Elle est professeure de culture musicale puis directrice du Conservatoire du 14e arrondissement de Paris.

Comme compositrice, Chrystel Marchand est « sensible à l’écoute des poètes, ce que met en évidence la qualité des textes choisis dans sa musique vocale ». Ainsi des Euclidiennes, pour soprano, flûte et harpe, sur des poèmes de Guillevic, de La jeune captive, pour mezzo-soprano et ensemble instrumental, d’après André Chénier, et plusieurs autres mélodies sur des textes de Jean Follain et Philippe Jaccottet. D’autres formations instrumentales ont également ses faveurs, à l’image du quatuor à cordes ou de l’orchestre d’harmonie, pour lequel elle compose en 1987 Ombre et lumière, en hommage à Raoul Dufy et la ville du Havre.

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