Chloé Ducray
[ultimate_heading main_heading= »Harpe » heading_tag= »h3″ main_heading_color= »#1f0e49″ alignment= »left » main_heading_font_family= »font_family:Montserrat|font_call:Montserrat|variant:700″ main_heading_style= »font-weight:700; » margin_design_tab_text= » »][/ultimate_heading][ultimate_spacer height= »30″] [ultimate_spacer height= »30″]Lorsque Chloé prend place derrière son instrument le temps semble s’arrêter pour ne laisser percevoir plus que les notes délicates délivrées par le jeu de ses doigts. Une apparente délicatesse fidèle à ce qu’est la jeune musicienne à la vie comme à la scène : chaleureuse et élégante.
Née en décembre 1986, Chloé Ducray débute la harpe à 9 ans sur un coup de cœur, et suit l’enseignement éclairé de Béatrice Guillermin. Lauréate à l’âge de 16 ans de la bourse du Lyceum Club, elle entre, en 2007, au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris dans la classe d’Isabelle Moretti et Geneviève Letang.
Chambriste passionnée, elle fonde l’ensemble Octalys, octuor à géométrie variable avec lequel elle gagne le second prix du Concours Européen de Musique de Chambre de la FNAPEC 2010. Après l’obtention de son Master en juin 2012, elle diversifie son activité et se produit autant en tant soliste que dans des formations telles que le duo avec voix, le trio flûte alto et harpe, le quintette français et le septuor, où elle interprète un répertoire essentiellement pianistique qu’elle réinvente pour son instrument. Elle enregistre en janvier 2016 pour le label « Les belles écouteuses » son premier disque autour de Schubert et Schumann avec le baryton Sydney Fierro.
Egalement passionnée de musique contemporaine, elle créée l’opéra/ballet « L’appel d’Ereshkigal » au Théâtre Claude Debussy de Maisons-Alfort (94), puis se perfectionne auprès de Frédérique Cambreling, harpiste solo de l’ensemble InterContemporain, notamment au sein de l’Académie du Festival de Lucerne, et se produit en soliste pour la clôture du festival ManiFeste de l’Ircam. La même année, elle créée Naoura, concerto pour harpe et électronique de Benjamin Attahir.
Invitée par les plus grands orchestres nationaux (Opéra National de Paris, Orchestre National de France, Ensemble Intercontemporain…), et membre de nombreux ensembles indépendants (Maja, Du Bout des doigts, Les frivolités parisiennes…) elle continue de s’enrichir au contact de ses pairs pour défendre des projets qui sortent des sentiers battus.